
A l'occasion de la 1ère édition du festival international "Un brin de court" qui a eu lieu à Vichy les 15 et 16 novembre, j'ai eu l'honneur de faire partie du jury et de remettre le prix du meilleur film francophone. 
L'occasion en tant que co-président de I-Dialogos et de délégué général de Francophonie en Auvergne-Bourbonnais, de souligner devant le public l'importance de la francophonie au plan linguistique et culturel sur les 5 continents et la sous-estimation de celle-ci au sein de l'hexagone,
d'indiquer que le département de l'Allier était très engagé pour promouvoir la francophonie avec de nombreuses associations et son "vaisseau amiral", le Cavilam-Alliance française de Vichy, recevant chaque année 4000 personnes venant de 125 pays pour se perfectionner dans la langue de Molière. 
Je me suis réjouis que ce festival ait pu rejoindre les rencontres littéraires francophones organisées par le Cavilam-Alliance française ainsi que le festival francophone du reportage court organisé par Planète Jeunes Reporters, faisant de Vichy, ville UNESCO, ville de la Francophonie.
Avec Pascal Jousse, directeur du festival, nous avons bien l'intention de faire pour sa 2ème édition, de "Un brin de court", un rendez-vous de la Francophonie.
D'autant que le festival est en lien avec le festival arménien "One Shot", ce qui nous a permis de découvrir 15 films d'une minute de jeunes arméniens. 
Le meilleur film francophone primé a été "Du printemps en hiver", film d'une grande sensibilité et chargé d'émotion, du réalisateur belge Rodrigue Belot.
Rodrigue Belot, réalisateur de "La femme c'est moi (2020), InTemporAire (2022) et Temps Mort (2023).
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